En apparence, Teams (ou Slack) et Zeebra peuvent sembler se marcher sur les pieds. Mais en réalité, ils répondent à des logiques très différentes, voire complémentaires. 

Voici les principales différences qui montrent pourquoi Zeebra n’est pas redondant par rapport à Teams/Slack :

1. Finalité : l’opérationnel vs la transformation

• Slack/Teams : outils de communication instantanée, conçus pour gérer l’opérationnel au quotidien (messages, fichiers, notifications…).
• Zeebra : plateforme de pilotage des transformations. Elle structure, outille et engage les équipes dans la durée pour réussir des projets complexes (réorg, digitalisation, RSE, nouveaux produits…).

2. Structuration : flux vs cadre

• Slack/Teams : c’est un flux de messages en continu. Efficace pour le “live”, mais vite désorganisé. Retrouver une info 3 jours plus tard, c’est comme chercher un trombone dans une piscine.
• Zeebra : fonctionne avec des cadres méthodologiques clairs (blocs de transformation, jalons, indicateurs, contributions, votes, etc.). Ça crée de la traçabilité, de l’engagement et du sens.

3. Engagement collectif

• Slack/Teams : utiles pour échanger… mais souvent limités aux équipes déjà “dans la boucle”.
• Zeebra : met en scène la contribution de tous, y compris ceux qu’on n’entend jamais dans les réunions. Chacun peut s’exprimer, voter, proposer, suivre l’avancement : c’est du management distribué.

4. Vision et gouvernance

• Slack/Teams : ne proposent aucune vue d’ensemble sur un projet ou une transformation.
• Zeebra : offre des vues consolidées : qui contribue, quels sont les irritants remontés, où on en est, quelles idées émergent… ? C’est une boussole pour les pilotes de projet comme pour la direction.

5. Usage IA et data

• Slack/Teams : intègrent des bots, mais sans réelle structuration autour de la transformation.
• Zeebra : exploite l’IA pour analyser les signaux faibles, générer des synthèses, prioriser les actions, etc.

En résumé : 

Slack/Teams sont des talkie-walkies. Zeebra est un GPS de la transformation !

Tu peux avoir les deux dans ton sac à dos – ils ne servent pas au même moment.

D’ailleurs Zeebra est accessible directement depuis Teams !

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Objection, votre honneur : « OK mais cela fait encore un outil de plus !... »

Voilà une crainte légitime de surcharge numérique ! (Mais cette crainte est probablement la raison de notre retard en France dans la transformation digitale.) 

1. Recentrer sur la valeur : “Ce n’est pas un outil de plus, c’est un outil qui remplace le flou.”

Ce n’est pas un outil de plus, c’est un outil qui évite les mails à rallonge, les réunions inutiles, les tableaux Excel planqués dans 12 versions… Zeebra structure ce qui est aujourd’hui éparpillé, invisible ou inexploité.

2. Zeebra ne s’ajoute pas, il simplifie

Zeebra ne vient pas alourdir. Il remplace ou allège : les reportings manuels, les fichiers partagés sans cadre, les ‘points projets’ où personne ne sait qui fait quoi… En gros : moins d’outils bricolés, plus d’impact.

3. Avec l’IA, Zeebra bosse pendant que toi tu dors

Zeebra capte les signaux faibles, synthétise ce que pensent les équipes, propose des priorités… Tu gagnes du temps, de la clarté, et surtout de l’intelligence collective.

4. Il se greffe à l’existant (Slack, Teams, Notion…)

Zeebra ne cherche pas à remplacer Slack ou Teams. Il s’intègre. On ne touche pas à ton organisation, on lui donne juste un cerveau en plus.

5. Le vrai sujet n’est pas ‘un outil de plus’, c’est ‘comment on transforme vraiment’

Ce qui est "de trop" c’est plutôt de continuer à empiler des plans de transformation sans méthode ni feedback terrain. Zeebra évite ça !

En résumé notre avis :

Le problème ce n’est pas d’avoir un outil de plus.

C’est de ne pas avoir celui qui fait avancer les projets !

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Didier SERRAT

Fondateur Zeebra